ou Les CHANTIERS INTERVICINAUX 2011
1er dimanche de mars
Reportage de Patricia:
« Choisinés bonjour,
Je prends le temps de vous faire un petit récap de cette belle journée de chantier du 6 mars et d’autres nombreuses infos à côté que j’ai collectées ces derniers jours. Etaient donc présents les irréductibles Anne, Daniel, Romain et moi. Magnifique soleil et pas de vent qui nous a permis de faire un feu toute la journée. Nous avons continué à l’arrière du site, Daniel au bûcheronnage (il a d’ailleurs craqué en fin d’après midi en entaillant son pantalon façon grunge avec la tronçonneuse, heureusement plus de peur que de mal, une petite entaille au genou quand même… Anne et moi au débarrassage et nettoyage et Romain au feu : qu’elle organisation Vous verrez sur les photos ci-joint le résultat, le tas de bois grandit et les arbres disparaissent. Sans compter un pique nique toujours au top. »
« Vous verrez malheureusement sur les photos que les murs continuent de s’écrouler (près de la tour ronde), l’urgence de ce côté se confirme. »
« Et 4 visites dans la journée : deux passionnés de chez passionnés du site, Caroline et Claude tailleur de pierres à la retraite. Ils veulent nous venir en aide…à suivre de près…
3ème visite: une femme de Langogne dont le frère a connu l’Abbé BROS qui a été élève aux Choisinets. Elle se propose de nous donner quelque chose sur la vie de cette abbé, et son frère écrivait parait -il avec une écriture particulière venant des Choisinets. Elle peut aussi nous donner des écrits…à suivre aussi…
Dernière visite un jeune homme ( venu sur les conseils de Bruno) venant de Langogne, lui aussi, qui lisait les infos sur le dépliant à l’entrée, je l’ai invité à nous rejoindre aux chantiers.
Nous nous disions hier que si nous étions chaque dimanche sur le site…c’est la meilleure façon de faire notre pub…Mais bon c’est déjà ça.
Voilà voilà ça se bouscule on va bien arriver à trouver des solutions que diable… »
La phrase du jour…
« Fenêtre sur l’utopie.
Elle est à l’horizon dit Fernando Birri, je m’approche à deux pas, elle s’éloigne de deux pas, j’avance de dix pas et l’horizon s’enfuit de dix pas plus loin. J’aurai beau avancer, jamais je ne l’atteindrai.
A quoi sert l’utopie? Elle sert à cela: à cheminer. »
Eduardo Galeano (Paroles vagabondes) Edition Lux